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Une journée sur la communication Non violente pleine d’intérêt

Bilan de la Journée du 6 déc 2014 :
Découvrir le processus de la Communication Non Violente

Belle journée de découverte, de réflexion personnelle et de partage à partir des exercices concrets proposés.
Marshall B. Rosenberg (collaborateur de Carl Rogers) initiateur de la CNV écrit :
« La violence est l’expression tragique de besoins non satisfaits. C’est la manifestation de l’impuissance et/ ou du désespoir de quelqu’un qui est si démuni qu’il pense que ses mots ne suffisent plus pour se faire entendre. Alors il attaque, il crie, il agresse.... »
La violence dans nos paroles nait aussi quand je crois que ma façon de voir le monde est la seule qui soit vraie et qu’il ne peut y avoir deux façons de voir différentes et complémentaires. Or ce langage ne nous aide pas à nous sentir en lien les uns avec les autres.
Comment s’y prendre alors ? Le processus de la CNV est une véritable « colonne vertébrale » que les participants ont pu dérouler tout au long de la journée :

●Observer, décrire sans jugement
●Exprimer son ressenti
●Exprimer son besoin
●Faire une demande
En effet, nous n’avons pas appris à parler de nos ressentis et de nos besoins. Nous avons souvent un langage qui dit à l’autre ce qu’il est, ce qu’il n’est pas, ce qu’il a fait ou pas, qui a tort ou raison etc... Nous n’avons pas appris à parler de nos ressentis et de nos besoins.

Pour communiquer : Exprimer nos besoins et faire des demandes concrètes positives et réalistes : « Qu’est-ce que je veux vraiment ? »

« Dès l’instant où nous créons un lien avec autrui au niveau des besoins, humains fondamentaux, des conflits jusque là voués à l’échec commencent à se résoudre, et l’humanité de chacun apparait »
Chacun est reparti en méditant cette phrase :
« Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde.” (Gandhi)